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Généalogie
et histoire des Rousseau d’Amérique
Livres parus
Thomas Rousseau et ses descendants : De l’île
d’Orléans et de la Côte-du-Sud,
des origines à 1900
par Chantal Rousseau et
Guildo Rousseau
Sillery (Québec)
Les Éditions du Septentrion
2011, 360 p.
ISBN 978-2-89448-635-1
Nombre de photos et d’illustrations :
56 (noir et blanc)
Couverture : souple
Dimension : 17 x 24,5 cm
http://www.septentrion.qc.ca/
Le patronyme Rousseau fait partie
des 100 premiers noms de famille du Québec. Ses nombreuses
branches et lignées fleurissent encore aujourd'hui dans
la majorité des régions du Québec. Sa présence
en terre d'Amérique est aussi le fruit de l'histoire. Au
moins quinze Rousseau de souches différentes, ainsi que
quatre femmes portant le patronyme Rousseau, sont venus s'établir
et fonder une famille en Nouvelle-France. La plupart sont originaires
des anciennes provinces françaises suivantes : Aunis, Île-de-France,
Guyenne, Languedoc, Orléanais, Poitou, Saintonge.
Thomas Rousseau est le deuxième
du nom à venir s'établir en Nouvelle-France au cours
de l'été ou de l'automne 1663. Marié successivement
à Madeleine Ollivier (fille du roi) et à Françoise-Charlotte
Bélanger, il est le père de 12 enfants (6 filles
et 6 garçons). Grâce à ses nombreux descendants,
Thomas Rousseau pourrait être considéré comme
l'ancêtre premier des Rousseau du Québec et d'Amérique
du Nord.
Thomas Rousseau et ses descendants
est le premier ouvrage de généalogie historique
consacré à l'une des premières grandes familles
souches de l'île d'Orléans et de la Côte-du-Sud.
Son contenu recense au-delà de 4 680 individus, dont près
de la moitié appartiennent à l'une ou l'autre des
lignées féminines ou masculines issues du mariage
de Thomas Rousseau et de Madeleine Ollivier en l'église
de Notre-Dame-de Québec, le 5 octobre 1667.
Thomas Rousseau et ses descendants
est un outil de référence généalogique
unique. Un index des patronymes à la fin du dictionnaire
permet de retracer facilement les ascendants ou les descendants
d'une famille Rousseau ou d'une famille par alliance. Grâce
à son contenu historique, ce dictionnaire contribue à
l'enrichissement du patrimoine familial de la grande famille des
Rousseau d'Amérique.
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Les Rousseau : une famille pionnière
de Pohénégamook (1900-1970)
par Chantal Rousseau et
Guildo Rousseau
Trois-Rivières (Québec)
Les Éditions du Navigateur
2009, 158 p.
ISBN 978-2-923439-01-3
Nombre de photos et d’illustrations :
80 (noir et blanc)
Couverture : souple
Dimension : 17 x 24,5 cm
Les Rousseau une famille pionnière
de Pohénégamook contient 1 255 notices
généalogiques. La très grande majorité
retrace les descendants et les descendantes de la famille d’Apollinaire
Rousseau et de Calixte Soucy venus s’installer à
Pohénégamook autour des années 1860. D’autres
notices font état des familles qui, sur une période
d’un siècle et plus, ont contracté des alliances
avec la grande famille Rousseau de Pohénégamook.
Voici les noms de familles les plus fréquents : les
Beaulieu, Beaupré, Bélanger, Béliveau, Bérubé,
Blier, Bossé, Bouchard, Boucher, Chamberland, Corroles,
Denis, Desjardins, Francoeur, Gallant, Hudon Beaulieu, Landry,
Laplante, Lapointe, Lavoie, Levasseur, Lévesque, Marchand,
Michaud, Moreau, Morin, Ouellet, Pelletier, Saint-Pierre, Sirois,
Thibeault, etc.
Ce dictionnaire de généalogie
est de consultation facile. Un index onomastique des patronymes
à la fin du volume (p. 123-139) permet de retracer
facilement les ascendants ou les descendants d’une famille
Rousseau ou d’une famille par alliance.
Les Rousseau une famille pionnière
de Pohénégamook est un outil de référence
généalogique unique. D’un tirage limité,
ce dictionnaire enrichit le patrimoine familial de la grande famille
des Rousseau d’Amérique. Enfin, l’ouvrage offre
une méthode d’établissement d’un dictionnaire
de généalogie familiale d’application très
facile.
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Les Rousseau de Pohénégamook : de l'île
d'Orléans à la Côte-du-Sud (1663-1920)
Prix SEPTENTRION 2006
Sillery (Québec)
Les Éditions du Septentrion
ISBN 2-89448-468-2
http://www.septentrion.qc.ca/
Premier ouvrage historique sur
l’une des grandes familles-souches québécoises
: les ROUSSEAU, descendant de Thomas Rousseau.
Mettant à contribution
l’histoire et la généalogie, Guildo Rousseau
refait le parcours historique de ses ancêtres, depuis l’île
d’Orléans, où Thomas Rousseau s’établit
en 1666, jusqu’à Pohénégamook, dont
son arrière grand-père Apollinaire est l'un des
pionniers.
Un livre sur les lieux de mémoire
à partir desquels l’auteur relate le vécu
mouvementé des générations de Rousseau qui
forment sa lignée. Il décrit la vie quotidienne
des familles, leur labeur et leur infortune, leurs règles
de vie et leurs rapports sociaux, leurs drames humains qui constituent
le fil conducteur d’un récit, riche et dense, où
les faits historiques imposent leur authenticité et leur
surprenante gravité.
Les Rousseau de Pohénégamook,
c’est une remontée au temps des premières
seigneuries et des villages anciens de l’île d’Orléans
et de la Côte-du-Sud; autant de lieux ancestraux où
des générations de Rousseau vivent et se perpétuent,
ou quittent pour recommencer ailleurs une vie nouvelle.
C’est aussi une évocation
du temps des goélettes et des navires à voiles sur
le Saint-Laurent. Des familles Rousseau y exercent, de père
en fils, les métiers de marin, de navigateur et de capitaine
au longs cours. Leurs goélettes naviguaient dans l’estuaire
et le golfe du Saint-Laurent. Elles étaient leur gagne-pain,
leur manière de vivre et de mourir…
Dans ce livre sur ses ancêtres,
l’auteur puise une partie des événements historiques
relatés dans la chronique familiale transmise par son arrière-grand-père
Apollinaire au cousin germain de son père, Joseph-Éleuthère
Rousseau.
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Article de revue
Thomas Rousseau : méprises et vérités
à propos de ses lieux d’origine et de sépulture
Article paru dans la revue L’Ancêtre
(vol. 35, n° 285, Hiver 2009, p. 141-147), de la Société
de généalogie de Québec.
Spécialiste des familles Rousseau
d’Amérique, Guildo Rousseau démontre dans cet
article que les informations généalogiques qui circulent
depuis des décennies à propos des dates et lieux de
naissance et de sépulture de son ancêtre Thomas Rousseau
ne reposent sur aucune véritable source historique digne de
ce nom. Aucun document n’a été jusqu’ici
retracé en France prouvant que Thomas Rousseau est né
vers 1632 à Gourgé, ou encore dans le village voisin
d’Oroux, qui l’un comme l’autre, font partie du
département des Deux-Sèvres, région du Poitou-Charentes,
et sont pareillement tous les deux situés à quelque
50 km de la ville de Poitiers.
Il en est de même de la date
et du lieu de sépulture de Thomas Rousseau. Maints dictionnaires
et répertoires de généalogie affirment que Thomas
Rousseau est inhumé le 26 juillet 1716 — ou avant ou
après cette date — soit à l’Hôtel-Dieu
de Québec, soit encore dans les cimetières des paroisses
de Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud ou de Saint-Thomas-de-Montmagny.
Or, rien n’est plus faux. La désignation de cette fausse
date de décès et de ces faux lieux de sépulture
de Thomas Rousseau repose sur une lecture erronée faite, pour
la première fois, par le généalogiste Éloi-Gérard
Talbot (1899-1976), d’une « Convention » établie
devant le notaire Abel Michon, le 26 juillet 1716, entre les Dames
Hospitalières de l’Hôtel-Dieu de Québec
et les enfants de Thomas Rousseau, à propos de leur frère
nommé « Thomas » (n 11 b 18-11-1680, Saint-Pierre,
Î.O.). Ce huitième enfant de Thomas Rousseau semble avoir
souffert d’un quelconque handicap. C’est pourquoi ses
frères et sœurs demandent-ils aux Dames Hospitalières
d’accueillir en leur hôpital de l’Hôtel-Dieu,
non pas leur père Thomas, mais leur frère « Thomas
» et de le « […] nourrir & entretenir sin
et mallade Sa Vie durant ». (Pour une lecture entière
et une explication plus détaillée du texte de cette
convention, voir l’ouvrage de l’auteur Les Rousseau
de Pohénégamook : de l’île d’Orléans
à la Côte-du-Sud, Sillery (Québec), Éditions
du Septentrion, 2009, p. 49-50) et le contenu de cet article paru
dans la revue L’Ancêtre, (vol. 35, n° 285,
Hiver 2009, p. 141-147), de la Société de généalogie
de Québec.
Enfin, selon Guildo Rousseau, son
ancêtre Thomas Rousseau serait probablement décédé
entre le 10 avril 1709 et le 23 juillet 1715, voire plus précisément
entre 24 mai 1712 et le 23 juillet 1715. Mais aucun acte de sépulture
n’a été jusqu’ici retracé susceptible
de confirmer l’une ou l’autre de ces dates, ni son lieu
exact de sépulture au Québec. Pour de plus amples informations
à ce sujet, voir Les Rousseau de Pohénégamook
: de l’île d’Orléans à la Côte-du-Sud,
Sillery (Québec), Éditions du Septentrion, 2009, p.
49-53).
  

Note :
L'auteur possède quelques exemplaires de certains livres, aujourd'hui
épuisés, disponibles à la vente. Veuillez communiquer
avec l'auteur pour de plus amples renseignements.
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